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Réflexologie 69

ORIGINE DE LA REFLEXOLOGIE

Il y a 5000 ans, une forme de traitement par les points de pression était connue en Inde et en Chine.
 

Un des documents les plus anciens qui traite de massage réflexe date de 2700 avant J.C. il était attribué au chinois Houang Ti. Ce dernier aurait appelé son travail « Hua Tus Mi Ji » ou le « Tao du centre du pied ».

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En Inde on observe sur des représentations du pied de Bouddha ou Vishnu des symboles en relation avec le corps (3e siècle).

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En Egypte ancienne un pictogramme remontant de 2500 à 2300 avant J.C fut retrouvé à Saqqarah dans la tombe du médecin Ankmahor. Une personne reçoit un massage du pied et une autre de la main. D’après l’institut du Caire les hiéroglyphes signifient « ne me fais pas mal » ce à quoi le praticien répond « je ferais en sorte que tu me remercies ».

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Au Pérou, chez les Incas cette technique remonterait à 12000 ans avant J.C. On pense que les Incas transmirent leur savoir aux Indiens d’Amérique du Nord qui utilisent aujourd’hui encore cette forme de traitement (cf . Jenny Wallace Cherokee).

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En Europe au XVI siècle les docteurs Adamus et A’Tatis écrivirent un ouvrage sur la thérapie des zones réflexes.

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Aux U.S.A le médecin William Fitzgerald, né en 1872, spécialiste en O.R.L s’installa dans le Connecticut où il devint chef de service ORL de l’hôpital St François à Hartford. Il commença à appliquer à ses patients les techniques de zones thérapie et découvrit que la pression exercée sur des parties précises du pied provoque une anesthésie de certaines zones du corps. Ces recherches l’amenèrent à diviser le corps en 10 zones d’énergie égales et longitudinales : cinq pour la moitié droite et cinq pour la moitié gauche.

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En Floride Eunice INGHAM, physiothérapeute de l’hôpital de St Petersbourg à Tampa, mit au en forme ce que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de réflexologie. Elle mit au point une cartographie des zones des pieds avec les correspondances de chaque organe du corps humain. Elle trouva également que la plus grande sensibilité du pied rendait le traitement plus efficace. Elle écrivit en 1938 deux ouvrages : « Stories the feet can tell » (Ce que les pieds peuvent raconter) et « Stories the feet have told » (Ce que les pieds ont raconté).

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